Kanna convainc les parrains des mafias thaï et chinoise de la soutenir dans sa lutte contre Ami et découvre le combat que mène Yukiji depuis plus de quatorze ans. De retour au lycée, elle croise une Kyôko à la mémoire brisée, traumatisée par son passage à Ami-land. C'est aussi l'occasion pour elle de faire la connaissance d'un étrange professeur d'anglais…
Imaginez que vous soyez militant de la ligue communiste révolutionnaire et que vous découvriez que la moitié du sang qui coule dans vos veines provient du Baron Ernest Antoine Seillère.
Ca doit faire un choc, me direz-vous. Et bien c'est le cas pour la petite Kanna dans ce dixième tome. Non pas que le baron Ernest Antoine Seillère soit le père de Kanna, vous m'aurez compris, mais le moins que l'on puisse dire c'est qu'elle et son père ne sont pas vraiment copains.
Voilà le cliffhanger final de ce volume, moins percutant que d'habitude parce que l'info on la connaissait déjà, mais le problème de dépendance n'est pas réglé. On attend le tome 11.
Pourquoi?
Parce qu'Urasawa nous refait le coup du c'est pour maintenant mais qu'on se dit qu'il va pas nous le dire et qu'en fait il le fait quand même, alors on se dit que c'est bientôt fini tout ça sauf que c'était une blague et que c'était pas son vrai visage alors on sait qu'on s'est complètement fait baladé mais c'était bon quand même...