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| Un certain Clipton désire embaucher Holmes et Watson pour assurer sa protection lors d'un périlleux voyage. Il ne dispose en effet que de six semaines pour gagner Ceylan, où l'attend un héritage : les plantations de son oncle qui lui permettront de se lancer dans la production de thé. Mais la compagnie Teawings, leader du marché, est prête à tout pour l'empêcher de parvenir à destination, et le périple en compagnie de Lestrade et de Madame Hudson, s'annonce agité... |
  CoeurDePat
| La première partie de cet album est – comme les tomes précédents – savoureuse au possible, mêlant parodie, comique allant du léger au grotesque, franches rigolades et références diverses.
On peut d’ailleurs difficilement s’empêcher de rire en voyant les tronches que Barral est capable de dessiner, ni devant le changement extraordinaire de Mme Hudson.
Ce qui pèche un peu en revanche, c’est la deuxième partie, qui se résume en fait à une course-poursuite, ce qui peut lasser...
En fait, après relecture, ce tome est très sympathique, et prend tout son sens à la lecture de sa suite (et fin).
On remarquera la couverture, qui figure en fait une scène du tome suivant... |
Fufu
| On peut être un peu déçu de ce 3e tome de Baker Street quand on a beaucoup aimé les deux premiers.
Plus d'enquête dans celui-ci, il s'agit d'une histoire complète aux rebondissements plus espacés et avec moins de vacheries dans les dialogues entre les personnages. C'est un peu dommage et on ne peut qu'espérer de revoir Holmes et Watson revenir au 21b Baker Street pour y retrouver leurs enquêtes si proches de l'original et permettant les situations les plus délirantes et les répliques au vitriol. |
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