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| Si vous aimez les jeux vidéos, les ordinateurs avec pleins de fil dedans, les surfs échevelés jusqu'à 5 heures du mat et les beaux albums d'humour avec des jolis dessins, Cyberculture mon amour sera votre livre de chevet. Et si vous êtes réfractaire à la technologie, ce petit cours rapide sera votre passeport dans le nouveau monde numérique que les maîtres de monde nous préparent. |
  bourle
| Patrick et Felix joueurs invétérés de jeux vidéo décident de sortir un nouveau jeu, « excreminator ». Ce tome tourne autour des jeux vidéo, de la technologie et de la modernité.
Lewis Trondheim met à nu le système et la technologie avec humour. Le lecteur ne peut qu’être que sous le charme de cette BD qui est tellement vrai. Patrick et Felix vivent plus dans le monde virtuelle que dans la réalité et Lewis joue avec cela. Les personnages tellement différents des uns des autres donnent du dynamisme à cette BD, surtout que nous connaissons déjà quelques uns grâce aux précédent tomes : il y a ceux qui sont à fond dans les nouvelles technologies, ceux qui lutte contre tous ce qui abêtisse les personnes, … L’auteur se moque des nouvelles technologies, de la bêtise humaine comme de notre société pour notre plus grand bonheur. Contrairement aux tomes précédent, l’auteur a créé une unique histoire au lieu de réaliser plusieurs gags ce qui donne du tonus à ce tome. Le dessin est assez simple comme n’importe quel BD humoristique. Bien qu’il soit très sympa il ne serve que de support, c’est le scénario qui donne toute la qualité de cette BD. Excellent dialogues, parfaitement illustrés, moi je vous demande ce que vous voulez de plus.
Une critique de la société, des technologies comme de la stupidité humaine effectuée avec humour, le lecteur ne pourra que savourer cet excellent scénario.
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Cellophane
| Cet opus est une suite de gags en une planche qui finissent par raconter une histoire sur l’ensemble de l'album.
Le principe, s’il marche avec les Nombrils, m’a paru bancal ici. J’ai senti une « limite » à l’idée : il faut quelque chose de percutant sur une page mais qui tienne aussi sur la longueur.
Or, ni l’un ni l’autre de ces buts ne m’a paru atteint. Les gags ne fonctionnent pas toujours (pas souvent ?), avec des idées qui se traînent sur plusieurs cases pour arriver à une chute attendue et souvent basée sur le même principe de retournement de l’idée que l'on développe dans la planche.
L’histoire sur la globalité n’a pas d’intérêt majeur…
On est centré sur les deux protagonistes qui, je dois l’avouer, ne m’ont intéressé ni par leur caractère ni par leur envie de créer un jeu.
J’ai donc mollement tourné les pages, sans conviction, peu porté par les décors assez identiques sur tout l’album.
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