| |
| |
 |
|
|
|
| |
herbv
| Catastrophe, la vieille peau est hospitalisée et Michiko se retrouve sans agence. Cette dernière décide alors de se débrouiller seule afin de réussir un jour à remonter sur un podium et défiler pour Mihara, le jeune styliste qui l’a tant humiliée par le passé. Malheureusement, il est pratiquement impossible de persévérer dans ce métier si on n’a pas avec soi quelqu’un connaissant les bonnes personnes afin de vous faire obtenir les bons castings. Heureusement, une rencontre et un retour vont lui permettre de continuer à progresser dans la voie du mannequinât professionnel, même si le métier se révèle être moins glamour que prévu. Il ne resterait plus à Michiko qu’à enfin oser avouer son amour à son ami d’enfance et la vie la comblerait enfin, elle qui a tant souffert de sa grande taille par le passé.
Dans ce troisième volume de Walkin’ Butterfly, Chihiro Tamaki, l’auteure, fait avancer le récit vers sa conclusion à grand pas, plutôt avec brio même si certaines situations sont un peu téléphonées. Cependant, un rebondissement à la fin de l’avant-dernier chapitre permet de relancer l’histoire alors que Michiko semblait enfin devoir toucher au but. Tout est alors remis en question et on peut espérer que la mangaka va ainsi redonner un peu d’allant à une série qui devenait un peu trop tranquille avec une Michiko sérieuse et travailleuse. Ce changement peut sembler un peu rapide mais cela vient surtout du fait qu’il s’agit d’une série courte et que certaines ellipses temporelles n’apparaissent pas bien au lecteur insuffisamment attentif. Néanmoins, cela ne nuit aucunement au plaisir apporté par la lecture de ce josei et c’est bien le principal. |
|
|
|
|
|
| |
| |
