Les joies des rétro-acronymes... UEF signifie maintenant « Utopie Estivale du Fanzine ». Pas que la communication soit exubérante, mais déjà la confirmation que l'événement est toujours prévu.
Alors que le festival d’Angoulême 2023 se déroule sous la présidence de Julie Doucet, Gorgonzola a souhaité mettre en lumière Diane Oboswanin, alias Obom, autre autrice de BD québécoise écumant les fanzines des années 80, et influence revendiquée de la présidente ! Dans ce dossier, richement illustré de croquis et travaux inédits de l’autrice, trois textes se succèdent : une déclaration de Julie Doucet, un long entretien mené par Maël Rannou et Alexandre Fontaine-Rousseau, puis un texte de Fontaine-Rousseau en solo, faisant l’éloge de la simplicité. Pour accompagner ces mots, des hommages en bande dessinée de Jimmy Beaulieu, Saturnome et Francis Desharnais.
Autour de cette belle mise en valeur d’une autrice qu’on aime encore plus après lecture du dossier, une flopée d’habitués du fanzine sont encore au rendez-vous de ce massif numéro. Florian Huet, qui continue les aventures de son sombre détective Craignos Baltringue, a réalisé la fantomatique couverture. Dans le fanzine même, des pages L.L. de Mars, Lucas Taïeb, Jeneverito, Yvang, Lucas Taïeb, Pedro Mancini, Anouk Zou, Adrien Houillère & Léo Duquesne (Pantaléon sous le manteau est toujours disponible sur note boutique !), Léo-Louis Honoré, Tony, Ernan Cirianni, Thiriet, El Chico Solo, Emmanuel Reuzé, Aleksandar Zograf (Visions hypnagogiques est aussi dans notre boutique), Ivana Armanini, les retours tant attendus de Cléry Dubourg, Lionel Richerand et Thierry Guitard – jusqu’ici uniquement publié dans notre n° 6 ! Il propose ici des couvertures alternatives à son indispensable Tout ou rien ! Ajoutons 24 pages d’Alex Chauvel puisqu’après tout, pourquoi se priver des bonnes choses ?
Gorgonzola voulant toujours défricher, nous avons la joie d’accueillir tout de même quelques nouveaux auteurs. Lasse Russe, qui a publié le magique Saveur Bonheur, a réalisé les dessins gags de gardes et Axel Dubois Held, qui vient de terminer ses études à l’EESI et prépare un livre pour le Frémok, propose une curieuse pérégrination. Comme si cela ne suffisait pas, plusieurs auteurs avec qui nous avons travaillé ailleurs que dans notre fanzine sont au sommaire : Ibn Al Rabin, que nous n’avions publié que dans L’Abécédaire en 2005 !, réalise d’hilarantes pages sur les mathématiques et Renaud Thomas intègre l’équipe après sa participation à Bibi avait tout prévu, tout comme Alexandre Géraudie. Quant à C. de Trogoff, qui a publié chez nous Un vent violent (aussi toujours disponible sur… bref) passe de l’adaptation de l’Ancien Testament à un classique chinois.
Enfin, fidèles à notre habitude de lien entre les numéros et leurs dossiers, nous avons le plaisir de publier une nouvelle planche de 44, sujet du dossier du précédent numéro, avec un scénario mis en scène par Yvang.
*
Nous serons présent aux Université d'été du fanzine, du 25 au 27 août à Poitiers, mais j'ai l'impression que leur com est encore pire que la nôtre car je ne trouve aucune annonce en ligne.
Suite d'une conversation à SoBD devant « Bibi avait tout prévu » : Finalement « j'ai pas ».
Je pensais sans doute à cet autre piège diabolique de Bibi, alors chercheur d'or en Guyane.
Important : où peut-on se procurer le bouquin ? Un paypal ? Une adresse de commande ?
Le site de l’égouttoir est désormais à jour ! Pour acheter d'autres trucs avec (comme le merveilleux "Bibi avait tout prévu") mais sinon c'est 8€ port (3€ pour la France) via paypal à [email protected] !
Haaa, oui, je vois que le bouton de commande pour simplifier le bazar est apparu sur la page, c'est ma pauvre maman qui va être contente (elle pigeait rien à la manœuvre).
Bon, va en falloir de la promo pour les bouquins des micros éditeurs de cette dernière année écoulée sans salon... C'est vraiment le carnage...
Important : où peut-on se procurer le bouquin ? Un paypal ? Une adresse de commande ?
Le site de l’égouttoir est désormais à jour ! Pour acheter d'autres trucs avec (comme le merveilleux "Bibi avait tout prévu") mais sinon c'est 8€ port (3€ pour la France) via paypal à [email protected] !
Vidéo réalisée par LL de Mars pour sa nouvelle chaîne Youtube consacrée aux bandes dessinées.
évidemment, si vous voulez être tenus au courant dès le démarrage de la partie critique des premières mises en ligne (qui seront hebdomadaires), c'est déjà le moment de vous abonner.
Teaser : Maël et Glotz chez C. de Trogoff et LL de Mars pour monter Un vent violent de C. de Trogoff, la prochaine publication de L'Égouttoir (en librairie en mars si tout va bien).
La formation a été un peu laborieuse, mais une fois le geste acquis ça a rapidement pris une tournure très fordiste
!
ça n'a pas été laborieux du tout ; les 200 couv en deux passages, avec rainurage et pliage (la jaquette de Tiziano de Fabriano a des rabats de 5,5cm)ont été réalisées en deux jours, tranquillement menés, ce qui me semble quand même plutôt performant pour des novices. Vous pouvez être contents de vous.
Important : où peut-on se procurer le bouquin ? Un paypal ? Une adresse de commande ?
Glotz :
Vidéo réalisée par LL de Mars pour sa nouvelle chaîne Youtube consacrée aux bandes dessinées.
la chaine, qui pour l'instant n'accueille que des documentaires et des archives de livres PCCBA, va rapidement s'ouvrir à un espace de critiques d'albums ; les premiers films présenteront des lectures de Maël, de moi, C. de Trogoff, Alex d'Adverse, en attendant que d'autres nous rejoignent.
Comment faire ?
Les conditions d'accueil des critiques seront simples : on ne parle sur la chaîne que des livres dont personne ne parle ailleurs, on privilégie la recherche, les bandes dessinées prétendues difficiles par ces feignasses de journalistes, la singularité, les petits éditeurs, ce qu'on appelait autrefois l'underground et que je serais bien en peine de nommer justement aujourd'hui (pas sur que "indépendant" veuille dire grand chose).
Des présentations claires, un minimum détaillées, en évitant le bavardage affectif pour privilégier une certaine factualité, entre 5 et 10 minutes après montage. Que ceux qui seraient effrayés par le cadre, en présupposant un degré d'exigence théorique comparable à Pré Carré se rassurent tout de suite : c'est un cadre léger, destiné à créer du désir pour des créations qui passent complètement inaperçues dans un monde éditorial et journalistique normatif et paresseux, voilà tout. Si vous êtes timide, faites parler une chaussette au bout de votre main.
Après nous êtres entendus sur l'album, il nous faut simplement une série de plan face caméra, si possible avec une prise de son extérieure, et une série de plans de feuilletages de l'album qui seront montées par nos soins ; si vous filmez avec un téléphone, n'oubliez pas de faire des plans horizontaux. Si le résultat du montage convient au participant, le film rejoint la chaine.
Voilà.
Teaser : Maël et Glotz chez C. de Trogoff et LL de Mars pour monter Un vent violent de C. de Trogoff, la prochaine publication de L'Égouttoir (en librairie en mars si tout va bien).
La formation a été un peu laborieuse, mais une fois le geste acquis ça a rapidement pris une tournure très fordiste !
Vidéo réalisée par LL de Mars pour sa nouvelle chaîne Youtube consacrée aux bandes dessinées.
Le vilain Bill Vesé est tombé dans un piège disposé par l'ingénieux Bibi Fricotin. Le piège est si mal conçu qu'il en devient incompréhensible ? Bill Vesé est trop naïf pour faire un méchant crédible ?
Qu'importe, Pierre Lacroix (1912-1994) et son scénariste Roland de Montaubert (1913-1983), maîtres par la force des choses de la bande dessinée improvisée, ont quatre numéros par an à produire : tant que les pages affluent, leur éditeur est content — quelques pages de Bibi Fricotin As du Far West (1956) plus tard, le lecteur aura de toute façon déjà oublié le piège bancal.
63 ans plus tard, une quarantaine d'autrices et auteurs ressortent de l'oubli cette mésaventure de Bill Vesé. Entre réinterprétations graphiques plus ou moins fidèles, jeux sur les failles de la page originelle, et surprenants pas de côté, chaque planche du recueil offre à sa manière une réflexion sur les potentialités inattendues cachées dans les trépidations permanentes d'une certaine bande dessinée populaire francophone produite à la chaîne, aujourd'hui disparue.
Sous une couverture de Samplerman, Bibi avait tout prévu accueille, dans l'ordre du sommaire, Barthélémy Schwartz, Alex Baladi (invité d'honneur du festival lausannois BDFIL où BIbi a été présenté), Ronald Grandpey, Jean-Louis Capron, Jérôme Dubois, Matti Hagelberg, Thomas Gosselin, Tommi Musturi, Jean-François Biguet, Léo Quievreux, Docteur C., Émilie Gleason, Alexandre Géraudie, Adèle Quiévreux, François Henninger, Mavado Charon, Luis Echavarria, Adrien Houillère & Léo Duquesne, Noémie Barsolle, Léo Louis-Honoré, Matthias Lehmann, Olive Booger, Renaud Thomas, Oriane Lassus, Pedro Mancini, Maria Medem, L.L. de Mars, Giacomo Nanni, Olivier Texier, Aleksandar Zograf, Florian Huet, Edmond Baudoin, Powerpaola, Cléry Dubourg, Ilan Manouach & Anika, Alex Chauvel, Nylso et David Amram. Chaque volume contient le fanzine de quatre pages Ceci est mon corps et Bibi Fricotin en même temps, où Maël Rannou raconte la genèse du projet ainsi que, fidèle à ses habitudes, sa vie — avec Laurent Lolmède en guest star.
Infos techniques : 44 pages, dont 4 en couleurs, format 18,5×26,5 cm, septembre 2019, 12 €.
Un album collectif coordonné par Maël Rannou & David Amram.
Notons au passage que si votre commande contient le livre Caporal & Commandant recueillis, de J&E LeGLatin, ou l'anthologie de BD Colombienne Ñ comme viñetas, les frais de port sont offerts.
[citer auteur=Mr_Switch]Aux dernières nouvelles, le chef attendait qu'on lui branche Internet dans son nouveau chez lui...[/citer]
J'angoisse un peu sur les dizaines de couvs envoyées que je n'aient pas toutes sauvegardés alors que Mr_Switch disait de les garder de côté.
[citer auteur=Mael]Bon, j'attendais le retour du forum, puis des vignettes pour les annoncer, bon comme on risque de sortir deux nouveautés en septembre voici donc les sorties de janvier pour l’Égouttoir !
Gorgonzola n°24.[/citer]
pour les vignettes, c'est pas encore ça (ni pour les citations de post dans le forum, par ailleurs), vois-je, sur les biblios; j'aurais des sorties à annoncer pour la bullebase (CYAN 2 et 3 et le dernier "Chambre pâle") ; une idée de la date du retour d'un Bulledair complètement fonctionnel ?
Bon, j'attendais le retour du forum, puis des vignettes pour les annoncer, bon comme on risque de sortir deux nouveautés en septembre voici donc les sorties de janvier pour l’Égouttoir !
Gorgonzola n°24
Léo-Louis Honoré et Cléry Dubourg annoncent avec leur damier de couverture notre premier dossier géographique depuis le numéro 16 — 75 pages consacrées à la scène croate contemporaine. Introduites par Matko Vladanovi?, elles vous permettront de découvrir un texte de Dinko Kreho sur l'importance des fumetti pour survivre en temps de guerre et les univers variés de Danijel Žez?elj, Damir Steinfl, Ena Jurov, Ivana Armanini, Stipan Tadi?, Marko Dejška, Vinko Bari? et Helena Jane?i?.
Autour du dossier, des auteurs issus d'anciens dossiers ou de projets de rééditions au long cours (El Chico Solo, Ernan Cirianni, Imagex, Germán Genga, Jack Exily) côtoient deux faux nouveaux (Léo Duquesne et Florian Huet) et un beau contigent d'habitués (David Amram, L.L. de Mars, Guy Boutin, Vincent Lefèbvre, Alex Chauvel, Yvang, Jean-Luc Coudray, Cléry Dubourg,Stanislas Gros et Docteur C.).
Infos techniques : 162 pages imprimées A5 noir et blanc, janvier 2019, 10 €.
Visions hypnagogiques, d'Aleksandar Zograf
Depuis le début des années 1990, Aleksandar Zograf garde à proximité de son oreiller un petit carnet où griffonner les images qui s'impriment furtivement lorsque son esprit bascule dans le sommeil, ou en émerge soudainement – des visions hypnagogiques.
Une fois bien réveillé, Zograf retravaille certaines de ces ébauches dans d’autres carnets. Au fil des années, il a ainsi accumulé des centaines et des centaines de dessins, autoéditant 7 mini fanzines (un édition extrêmement limitée avait été tirée par La Pieuvre dans les 90's).
Pour ce recueil, 70 dessins ont été recueillis pour la première fois en France, préfacé par un texte écrit pour l'occasion par Zograf.
Cartoonesques, inquiétantes ou décalées, ces visions offrent autant de portes d’entrées dans l'univers de cette figure majeure de la bande dessinée balkanique.
Notons au passage que si votre commande contient le livre Caporal & Commandant recueillis, de J&E LeGLatin, ou l'anthologie de BD Colombienne Ñ comme viñetas, les frais de port sont offerts.
J'ai eu la chance de lire en avant première le dit objet. Référence à Pantaléon et les visiteuses ? Le bordel n'étant pas en pleine forêt vierge, je dirais que non, mais ce fut ma première réflexion. (Génial livre de Vargas Llosa)
C'est un peu court, donc je ne déflorerai pas l'histoire mais c'est très sympa à lire. Pas de cases, les compositions sont anarchiques et permettent aux auteurs de laisser libre court à leur imagination. Je n'ai malheureusement ni la souplesse ni le nombre d'amis suffisant pour me laisser aller à de telles prouesses ! On pense à Willem et à ses poignées d'amour. L'enquête policière est à mon avis plus anecdotique mais les auteurs ont l'intelligence de ne pas donner le coupable. Au lecteur, à relire s'il le souhaite le livre à la manière d'"une enquête de Mickey".
Bref quand Walt Disney rencontre Willem pour 3 euros, ce serait dommage de s'en passer !
4 trous
Projet lancé par Glotz lors du festival Fumetti où une expo Pantaléon avait lieu. Pantaléon, ce détective fat qui se retrouve dans un bien étrange bouge.
Tsss, voilà que Maël contamine Glotz qui se met lui aussi à lancer de curieux projets de cochoncetés. Attention cet hobby très douteux peut laisser des séquelles !
Comme souvent à Angoulême, des nouveautés, mais cette fois pfiou, c'est la surproduction. On retrouvera ces trois publications sur le stand F10 de l'espace BD Alternative, entre la revue Planches et Radio as paper.
Forcément il y a le Gorgonzola nouveau, Glotz fera un commentaire publicitaire plus détallé, le sommaire est là. 160 pages, toujours que des récits complets, une équipe qui augmente, se complète, revient... C'est l'argentin Pedro Mancini qui signe la couv, le dossier est consacré à Vaughn Bodé avec plusieurs articles, des BDs traduites... Pas évident mais réjouissant à explorer. Pour l'anecdote ce doit être le numéro avec le plus de nationalités d'auteurs différentes, je ne sais plus combien exactement mais je n'aurai pas parié vu qu'aucune des autrices colombiennes qui devait participer à Gorgonzola ne seront de ce numéro (ce sera pour le 24, histoire de faire fructifier le travail mené dans le collectif). Comme toujours aussi il y a des habitués mais aussi des auteurs présents pour la première fois, c'est toujours très agréable à réaliser. Et toujours 8€ bien sûr.
Bed & Breakfast de Florian Huet a déjà été publié il y a déjà trois ans, et épuisé. Nous le rééditons dans une forme nouvelle (nouvelle couv, nouveau papier, épilogues, de l'inédit de ci de là). Une réédition en coédition avec La Poinçonneuse, un vrai plaisir de continuer à travailler avec cet auteur si pertinent, qui exploite ici un lieu de création et rend hommage avec une force plastique qui nous fascine toujours.
Projet lancé par Glotz lors du festival Fumetti où une expo Pantaléon avait lieu. Pantaléon, ce détective fat qui se retrouve dans un bien étrange bouge. Heureusement, son excursion dans les bas-fonds n'a été connue de personne et aucune trace n'en restera. D'ailleurs ce document non-officiel est publié sous le manteau et signé par deux auteurs aux pseudonymes mystérieux : Duck et Houille. Cette réjouissante aventure d'une vingtaine de page sur fond de partouze, épisode annexe de la série Pantaléon dont des épisodes sont déjà parus chez The Hoochie Coochie, Polystyrène, en jeu vidéo, etc. sera lancé sur notre stand pour la modique somme de 3€. Vite, avant que Pantaléon le magnifique s'en rende compte et retrouve la trace de chaque volume pour les détruire.
Viñetas désigne la case, "Historietta", terme consacré, est trop identifié ici à la BD Argentine
C'est tout simplement le mot pour tous les pays hispanophones, non ?
Viñetas est un joli titre.
En Espagne c'est plutôt Tebeos (qui vient de la première grande revue de BD espagnole, TBO, ou avait travaillé Arnal avant la guerre civile). Dans certains pays latino on dit aussi comicas.
Je ne dirais pas qu'il n'y a aucune influence du comics sur certains (de super-héros peut-être), ce n'est pas un choix éditorial mais reflète ce qu'on a reçu.
C'est comme pour les Oscars, alors, il y a préselection dans le pays d'origine, puis seconde sélection à l'arrivée. (Attention de ne pas devenir le Harvey Weinstein de la B.D. :)
Mael :
Viñetas désigne la case, "Historietta", terme consacré, est trop identifié ici à la BD Argentine
C'est tout simplement le mot pour tous les pays hispanophones, non ?
Viñetas est un joli titre.
Je ne dirais pas qu'il n'y a aucune influence du comics sur certains (de super-héros peut-être), ce n'est pas un choix éditorial mais reflète ce qu'on a reçu.
Viñetas désigne la case, "Historietta", terme consacré, est trop identifié ici à la BD Argentine, nous avons donc cherché un titre évoquant la bande dessinée et l'espagnol. Le plus grand festival de Colombie s'appelant Entreviñetas (son organisateur a activement participé au collectif) on s'est arrêté là dessus après plusieurs discussions.
Ñ comme viñetas, anthologie de la BD colombienne contemporaine
C'est comme cela qu'on dit B.D. en hispano-colombien ?
Mael :
une génération de jeunes auteurs et autrices aux influences multiples.
Dans les extraits montrés, je ne vois aucune influence graphique du manga mainstream, ni des comics de super-héros (un peu chez les luchadores, éventuellement)
Cela reflete la B.D. locale, ou c'est un choix éditorial ?
Peu connue, la bande dessinée sud-américaine est souvent réduite aux historietas argentines. Depuis une décennie, la Colombie s’affirme pourtant comme un deuxième pôle de création majeur sur le continent. Des fanzines et des festivals se créent, des albums sont publiés... Le dynamisme du territoire porte une génération de jeunes auteurs et autrices aux influences multiples.
À l’occasion de l’année France-Colombie, nous vous proposons de découvrir 13 d’entre eux, pour la plupart encore jamais traduits : Camilo Aguirre, Henry Díaz, Luis Echavarría, Sindy Elefante, Juan & Diego, La Watson, Luto, Juan Pablo Marín (El señor), m. a. noregna, Jim Pluk, Powerpaola, Camilo Vieco et Inu Waters. Préface-entretien avec Daniel Jiménez Quiroz, traduit par Roberto Salazar Morales.
Bien vu mais en fait il n'y a pas d'erreur sur le site sur les paginations, j'avais vu que les infos techniques n'étaient pas juste et les avaient corrigé.... Sans voir qu'en fait j'avais copié tout le bloc du 18 -_- (qui fait bien 176 pages).
se trouvent en effet 176 pages de bandes dessinées, illustrations et textes théoriques[...]
Infos techniques : 138 pages
Et puis " Muzotroimil semble inventer la bande dessinée industrielle"; semble, en effet, puisque dans Lapin #2 on trouvait "L'usine de bande dessinée", par Lewis Trondheim et Stanislas.
"Colville Petitpont parodie Joann Sfar", qui se parodie (involontairement ?)souvent lui-même, c'est donc une parodie au carré.
"deux dessins de Jean Bourguignon rendant hommage à ce grand auteur humoristique décédé en avril 2012."
J'imagine que, venant de toi, l'info est vraie, puisque vous avez fait un album ensemble. Mais son décès n'est pas indiqué sur bulledair, et l'abum date de 2016, il a mis 4 ans à sortir ?
Décidément je posterai tjs deux fois chaque post à cause d'erreurs. Ceci était la présentation du n°18 (erreur de lien sur notre site, j'ai copié collé sans faire attention... UNE FONCTION ÉDITER SUR BUBULLE VITE !).
(je sais, on peut aussi attendre que je sois vigilant mais bon)
Après Viper (n°18) et les fanzineux disparus (n°20), Gorgonzola poursuit son exploration du patrimoine contemporain avec un dossier consacré à Artefact, maison d'édition pionnière issue du fanzine Falatoff qui fit notamment connaître aux lecteurs français les undergrounds espagnols (El Víbora) et néerlandais (Tante Leny presenteert!) ainsi que les Fabuleux Freak Brothers, que Jean Bourguignon évoque en couverture, entre autres.
Outre une longue interview de cinq acteurs d'Artefact (Jean-Pierre Mercier, Sylvain Insergueix, Volny, Jean-Luc Renaud et Liz Saum, avec des illustrations de Gotlib, Ever Geradts, Imagex et Placid), le dossier comprend des témoignages illustrés de Yann Fastier, Bernard Joubert et Jean Bourguignon, ainsi qu'un article de Benoît Crucifix sur les traductions des bandes dessinées hollandaises.
Les auteurs des dossiers précédents ne sont pas oubliés : Jeneverito, Ernan Cirianni et Pedro Mancini continuent de nous faire découvrir la création contemporaine argentine, Comérode (Gerbaud) et El Chico Solo d'explorer leurs nouvelles veines humoristique pour le premier et autobiographique pour le second tandis que nous avons le plaisir de pouvoir rééditer « Sanguignola, le saigneur de la lande », seule bande dessinée de Jean-Claude Poirier non réalisée pour la presse enfantine. Imagex (avec une histoire inédite de 1986), Placid, qu'on ne présente plus, et Jean Bourguignon sont également présent hors du dossier tandis que nous accueillons pour la preimère fois Kevin Lucbert, dit Klub.
De nombreux auteurs habituels sont évidemment présents : Emmanuel Reuzé qui adapte un passage du roman Monsieur le curé de Jean-Luc Coudray, Simon Hureau qui parle de dinosaures, Olivier Texier à l'humour absurde toujours aussi original, les compères de Polystyrène Alex Chauvel & Rémi Farnos qui poursuivent leurs réflexions sur l'espace, Stanislas Gros, Vincent Lefèbvre, Aleksandar Zograf qui réfléchit sur l'exil, L.L. de Mars sur le Golem, les frères LeGlatin sans Caporal ni Commandant (apparemment), ainsi que notre caution franco-belge hollandaise [sic], Erwin Suvaal.
En hommage à cette diversité, Samplerman, pseudonyme d'un de nos auteurs les plus réguliers dont le blog fascinant connaît ces derniers mois un succès international, a remixé nos numéros précédents en un mashup référentiel des plus réjouissants.
Infos techniques : 138 pages imprimées A5 noir et blanc, janvier 2017, 8 €.
Après plus d'un an d'attente, voici le nouveau numéro de Gorgonzola, plus gros que jamais. Derrière une couverture de Tony, compagnon de la premier heure de l'Égouttoir devenu aujourd'hui un théoricien écouté et praticien chevronné de la bande dessinée numérique, se trouvent en effet 176 pages de bandes dessinées, illustrations et textes théoriques.
Dans la lignée du numéro 16 et son dossier sur la bande dessinée argentine, ce numéro propose un dossier sur la revue underground du début des années 1980 Viper. L'article historique de Maël Rannou permet de remettre en contexte et de montrer l'évolution de la revue, tout comme l'interview du rédacteur en chef Gérard Santi. Ces textes sont complétés par des illustrations de Benito, Jocelin et Philippe Lagautrière, des témoignages en bande dessinée d'Emmanuel Moynot et de Pierre Ouin, ainsi qu'un bande dessinée à quatre mains réalisées en 1984 mais restée inédite de Philippe Gerbaud et Emmanuel Moynot. Un autre pilier de Viper, déjà présent dans le précédent numéro, Imagex, livre une sinistre variation sur le thème bien connu de l'apocalypse nucléaire.
Tifenn Charles-Blin illustre les deuxième et troisième de couverture, les frères Leglatin le sommaire. Les Argentins Jeneverito, Dario Fantacci et Pedro Mancini continuent à livrer leurs histoires désabusées. Olivier Texier livre une inquiétante variation sur La Métamorphose, tandis que Pascal Tessier adapte avec brio un célèbre et inquiétant passage des Pensées de Blaise Pascal, que Colville Petitpont parodie Joann Sfar, qu'Alex Chauvel, auteur vu auparavant dans le fanzine Polystyrène, téléscope sur six pages les époques à la manière du Here de Richard McGuire et que Thomas Gosselin paie son tribut à Étienne Lécroart dans une bande dessinée itérative des plus réussies. Muzotroimil semble inventer la bande dessinée industrielle, l'Américain Peter S. Conrad parle de son étrange dentiste, François Henninger évoque avec maestria et musicalité le spleen contemporain et l'Autrichien Nicolas Mahler montre une nouvelle fois qu'il est l'un des auteurs actuels à l'humour le plus subtil et efficace.
Des auteurs réguliers sont présents : Jzef s'intéresse aux goûts des crocodiles en matière de pizza, aux gâteaux pour vélociraptors et à la vulcanologie gastronomique, Rémy Cattelain aux mœurs des chasseurs, Vincent Lefèbvre comme Yvang à l'étrangeté du bonheur, Maël Rannou et Joanna Hellgren à Alice hors du miroir (cinquième épisode), le Finlandais Marko Turunen aux soucis dentaires des super-héros. Petit hommage à Phil également, à travers une dizaines de planches retraçant vingt ans de sa carrière et deux dessins de Jean Bourguignon rendant hommage à ce grand auteur humoristique décédé en avril 2012.
On lira également Docteur C sous le nom d'Électro vigueur présente, des illustrations de Guy Boutin, une nouvelle de Benoît Préteseille, une longue histoire du Québecois Richard Suicide, des bande dessinée de Léo-Louis Honoré ou Nicolas Pinet, une collaboration entre Vincent Giard et Alexandre Fontaine-Rousseau. En quatrième de couverture, Léo Quiévreux clôt les intrigantes aventures de l'Agent Schumacher, et montre son talent pour la colorisation.
Infos techniques : 138 pages imprimées A5 noir et blanc, janvier 2017, 8 €.
Sur Du9, entre autres notules, L.L. de Mars signe celle-ci, et j'en suis fort aise :
Gorgonzola n°22, par les éditions de l’Égouttoir. Un numéro plein de bonnes choses (le merveilleux travail des frères Le Glatin sur Polyphème qui approche de sa fin, un beau récit intemporel de Coudray et Reuzé, des pages sobres de Pedro Mancini) et de trucs plus ou moins drôles (nettement dans les plus pour les dernières planches de Texier qui construit patiemment un monde et ses règles affolantes), plus ou moins passionnant (dans les plus pour un dossier émouvant et assez riche sur les gars d’Artefact à qui je dois tant de lectures), dont le voisinage donne une idée du bordel régnant dans la tête de Maël Rannou en matière de goût et de jugement. C’est sans doute très bien ainsi et c’est ce qui doit faire tout le sel de ce fanzine tenace sur lequel je n’aurais pas parié autrefois un kopeck. Je laisse de côté les quelques pages foireuses pour me concentrer sur cet appel : Maël Rannou, si tu m’entends, prends des cours de PAO ! Numéro 22 et toujours pas foutu de pondre un sommaire qui tienne debout, nom de Dieu !
***
(je lui dirai plus tard que j'ai fait un BTS comprenant des heures et des heures de PAO)
(mais j'étais très mauvais et j'adorerai trouver un maquettiste bénévole et compétent, mais du coup je le fais)
(mais merci tout de même et, surtout, le seul sommaire magnifique et valable c'est celui de la bullefiche)
Et le 22 est bien là, enfin j'ai reçu le bon à tirer et on les aura juste avant le festival !
Couv et sommaire ici, avec les participations de Jean Bourguignon, Kevin Lucbert, Samplerman, Simon Hureau, Olivier Texier, Jeneverito, Vincent Lefèbvre, Rémi Farnos & Alex Chauvel, Stanislas Gros, Pedro Mancini, Aleksandar Zograf, Imagex, Yann Fastier, Perdo Mancini, Marcel Gotlib, Pilif André, une grosse interview Artefact par mezigue (avec Jean-Pierre Mercier, Sylvain Insergueix, Liz Saum, Volny et Jean-Luc Renaud), Evert Geradts, Placid, Bernard Joubert, Éditions Bicéphale, Jérôme LeGlatin, Benoît Crucifix, L.L. de Mars, Comérode, Emmanuel Reuzé & Jean-Luc Coudray, El Chico Solo, Jean-Claude Poirier, Ernan Cirianni et votre serviteur à la réunion de tout ça et à l'interview (+ des traductions de Claire Lataxgue et Glotz).
Parmi les contentements voir que pleins la plupart des gens rencontrés via les précédents dossiers ont envie de participer à la revue !
C'est un tout modeste fanzine, pour relancer notre collection de petits zines photocopiés.
Modeste dans la forme parce qu'en effet c'est chouette. Une sorte d'essai sur le DIY, certains diraient même une BD-reportage hé hé... Mais bon, c'est autre chose. Je suis curieux de vos lectures.
Gorgonzola fête ses 10 ans, son vingtième numéro et son amour du fanzinat en donnant la parole à trois fanzineux historiques trop ignorés des amateurs comme des spécialistes de la bande dessinée. Choisis chacun pour incarner une décennie Filipandré (années 1970), dessinateur « pachiadin » entre tous, Gerbaud (années 1980), pionnier de la BD numérique, et El Chico Solo (années 1990), défenseur d'une SF alternative, reviennent sur leur parcours et leur vision du fanzinat, mais aussi sur leur vie après la bande dessinée et leur actualité la plus récente.
Le fanzinat contemporain est également à l'honneur de ce numéro, fidèle à la volonté de dialogue entre le dossier et le reste de la revue. Pour ses dix ans, Gorgonzola offre un sommaire resserré autour de 19 contributeurs réguliers ou historiques, encouragés à réaliser des histoires plus longue qu'à leur habitude. Alex Chauvel (auteur de la couverture avec Charlotte Bräuer), Jzef, Tony, Simon Hureau, Olivier Texier, Yvang, Jean Bourguignon, Muzotroimil, Mickaël Roux, Jeneverito, Léo Quiévreux, Erwin Suvaal, J&E Leglatin, Victor Hussenot, Vincent Lefèbvre, Richard Suicide (d'après Denis Vannier) et Pedro Mancini ont saisi l'occasion et apporte une densité toute nouvelle à la revue. Densité... et épaisseur, ce numéro frôlant les 200 pages et fêtant ainsi dignement un anniversaire sans passer par la case autocélébration sans grand intérêt.
Enfin, notons que ce numéro est dédié à Nicolas Plamondon, auteur québécois disparu cette année. Sa route avait croisée celle de Gorgonzola et nous aurions aimé qu'elle le croise plus souvent.
Infos techniques : 192 pages imprimées A5 noir et blanc, décembre 2014, 10 €. Maquette du numéro d'Alex Chauveul et Charlotte Bräuer. Traductions des planches de Jeneverito et Pedro Mancini par Roberto Salazar.
Pour le commander, c'est simple, vous pouvez envoyer 13,30€ (10€+fdp) via paypal à [email protected] ou par chèque à L’Égouttoir 14 rue du Gravier 53000 Laval. Expédition garantie dans la semaine.
(Tiens, c'est drôle parce que j'ai justement mis aujourd'hui sur un blog d'archives un truc de quatre pages que j'avais proposé pour ce collectif, il me semble. Je me permets cette indication car la coïncidence m'amuse.)
Fin des années 2000. La bande dessinée francophone succombe à la mode délétère du porno chic, de Stupre à Fluide Glamour, d'Érotix à Comtesse. On fait du cul mais attention, pas du vulgaire porno hein, de l'art, etc... Énervé par ces discours suintant l'hypocrisie et l'opportunisme (même s'ils permettent parfois de belles choses), un petit collectif a fomenté l'idée d'éditer un livre au doux nom de PORNO CRADE. Ici pas question de bon goût ou de défense culturelle : du sexe, du sang, de la merde, des animaux, etc...
Le recueil sortit fin juin 2010 aux éditions Maël Rannou. Autour d'une contrainte simple (écrire un récit pornographique intéressant, mais crade), on retrouvait 4ndr34s M4rch4ll, Bertoyas, Pakito Bolino, Olive Booger, Jean Bourguignon, Guy Boutin, Docteur C., Mavado Charon, Mike Diana, Jean Kristau, Joko, Julie Ja, Bernard Joubert, Matthias Lehmann, LL de Mars, Mikkymixx, Pithec, Léo Quiévreux, Maël Rannou, Guillaume Soulages, Richard Suicide, Olivier Texier, Duy Thang Nguyen, Tony, Anne Van Der Linden, Jacques Velay et Yvang.
Rapidement épuisé après sa sortie, demandé par les lecteurs, le livre, toujours d'acutalité, intègre en 2014 le catalogue de l’Égouttoir pour sa nouvelle édition, avec pour seule différence le remplacement des planches de Bertoyas par une histoire de Pich et quatre gags de Texier.
Petit dossier sur Poirier qui donne un aperçu global de son oeuvre. C'est bien. Le revers de la médaille, c'est que l'on veut une intégrale ou une anthologie de cet oeuvre. Particulièrement de Horace, en ce qui me concerne.
Après la bande dessinée argentine contemporaine et Viper, revue culte des années 1980, Gorgonzola continue à remonter le temps pour s'intéresser à Jean-Claude Poirier (1944-1980), créateur d'Horace et de Supermatou dans le Pif Gadget des années 1970. Original et inventif, Poirier a intrigué de très nombreux lecteurs.
L.L. de Mars, Ronald Grandpey, Yvang (qui réalise également la couverture), Muzotroimil, Pinpin, Mandragore et Bé en étaient, et chacun revisite à sa manière l'œuvre d'un auteur qui les a marqué dans leur enfance. Les anciens collègues de Poirier Philippe Luguy, Jacques Kamb (qui à 80 ans devient le vétéran de Gorgonzola !) et Mircea Arapu complètent l'hommage dessiné, tandis que François Corteggiani livre quatre émouvantes pages de souvenir et Christian Flamand, assistant de Poirier jusqu'à la mort de ce dernier en 1980, un témoignage précieux sur les dernières années de l'auteur.
Ces hommages et recréations sont complétés par une étude des travaux de jeunesse de Poirier écrite par le spécialiste de la bande dessinée populaire Dominik Vallet et une étude stylistique (la première du genre) de Poirier par Maël Rannou, lequel a également rassemblé de nombreux dessins et images relatifs à Poirier inédits ou peu connus.
Hors du dossier Poirier, de nombreux habitués de Gorgonzola continuent à déployer leur univers. Les Argentins Jeneverito, Dario Fantacci et Pedro Mancini, le Finlandais Marko Turunen et le Québecois Guy Boutin sont de la partie, tout comme Yann Tréhin et Alex Chauvel de Polystyrène, le Caporal et Commandant des frères LeGlatin, l'Agent Schumacher de Léo Quiévreux, Jzef, Vincent Lefèbvre, Louis-Honoré Léo et Imagex.
Ce numéro accueille également quelques nouveaux auteurs : Victor Hussenot, remarqué pour son album La Casa chez Warum, Vincent Djinda et TemPoe, ainsi que Claire Pétry, en collaboration avec Maël Rannou. Deux photographies de Janie Julien-Fort ornent les deuxième et troisième de couverture.
Infos techniques : 140 pages imprimées A5 noir et blanc, octobre 2013, 8 € + 2,35€ de frais de port.
J'avais pris ce fanzine pour le dossier Fleischer. Je n'ai pas été déçu. J'ai appris pas mal de trucs (je ne connais presque pas). Et J'ai pu faire le lien avec d'autres observations de mon cru.
Bien content, donc.
Une anecdote à la fois anodine et intéressante. Sugar a bel et bien vu au moins le premier cartoon de Popeye.
Il y a aussi des poèmes et autres textes théâtraux. Ce n'est pas forcément ma tasse de thé donc je ne saurais dire si c'est de bonne facture.
Je commence à percevoir une équipe d'habitués de qualité (Turunen, Le GlatinS, Texier), des guests qui viennent et servent du bon (Mahler, Gosselin et Préteseille ici, Baladi, Gros ou Hureau sur le 17).
Juste pour préciser, en fait Gros et Hureau sont plutôt des habitués non présents dans le 18. Gros depuis le n°3, Hureau depuis le 12.
J'espère que Gosselin (et Mahler, mais j'y crois moi) se systématisera par la suite !
Oups, manque de pratique flagrante :)
Si tu les signes en habitués, je commande déjà le 19.
Je commence à percevoir une équipe d'habitués de qualité (Turunen, Le GlatinS, Texier), des guests qui viennent et servent du bon (Mahler, Gosselin et Préteseille ici, Baladi, Gros ou Hureau sur le 17).
Juste pour préciser, en fait Gros et Hureau sont plutôt des habitués non présents dans le 18. Gros depuis le n°3, Hureau depuis le 12.
J'espère que Gosselin (et Mahler, mais j'y crois moi) se systématisera par la suite !
Je commence à percevoir une équipe d'habitués de qualité (Turunen, Le GlatinS, Texier), des guests qui viennent et servent du bon (Mahler, Gosselin et Préteseille ici, Baladi, Gros ou Hureau sur le 17). Franchement, ça fourmille, ça part dans tous les sens, mais quand on ajoute à cette certaine qualité globale un dossier Viper qui m'a appris beaucoup de choses, on ne peut qu'espérer que l'aventure gorgonzolesque continue.
J'ai toujours du mal à trouver un équilibre de lecture dans les revues, les recueils thématiques et multi-auteurs, les fanzines. Et là, ça marche. On a de très belles choses, d'autres insignifiantes mais qui n'estompent pas les réussites.
Pour tenter une comparaison qui n'a pas lieu, j'ai lu ces derniers temps beaucoup de Judith et Marinette dans lesquels Nylso et Jean Jean, par exemple, me parlent à chaque fois quand le reste de la bande d'auteurs ne me touchent (émotion qui va du rire aux larmes, du malaise à l'interrogation) que de temps à autre. Pas plus.
Dans ce (premier pour moi) Gorgonzola, j'aurai peut-être plus de mal à retrouver des habitués, le concept du fanzine étant éloigné de le Journal de J&M, qui est bien une revue. Mais j'ai eu clairement de bons moments de lecture (hé non, je ne donne pas de noms).
Le Gorgonzola nouveau peut peut se commander directement sur notre site, nous rappellons qu'en ce moment une offre permet à toute commande comprenant un exemplaire de Caporal & Commandant recueillis d'être exemptée de frais de port !
J'imagine que cette offre n'est valable que pour la France o)
Comme l'a dit Maël, les frais de ports vers l'étranger sont... moins élevés que vers la France. Donc en fait non seulement l'offre est également valable pour les gens qui habitent en Asie, mais elle est plus rentable pour nous ^^
Pirik : Oui bien sûr on peut tjs envoyer en prioritaire mais c'est beaucoup plus cher qu'en économique. Nous on propose le tarif le plus bas, après si les gens qui commandent veulent un tarif spécifique plus cher pour des raisons x ou y (suivre le paquet etc.) on fait comme ils veulent.
Il reste qu'il est moins cher d'envoyer un livre en Asie qu'en France, même en mettant le tarif le moins cher possible pour la France. Ce qui est quand même un peu fou.