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Frederik Peeters [ Bandes Dessinées : auteurs, séries, et toutes ces sortes de choses... ] retour forum
| crepp, 05.03.2024 à 17:47 | 378660 |
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L'explosion finale a bien eu lieu.
Conclusion un bon "polar fantastique"
4 grenouilles. |
| crepp, 25.09.2023 à 13:16 | 377825 |
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Après une petite baisse de régime dans le troisième opus, ce quatrième redonne une tension pour amener tous les éléments avant l'explosion finale avec le cinquième (enfin j'espère). |
| crepp, 11.04.2023 à 9:23 | 377475 |
| | | Je pense que cette couverture annonce une partie de nouveau plus fantastique, en tout cas je la vois de cette manière. |
| Anoeta, 11.04.2023 à 0:39 | 377474 |
| | | Herbv : | Je ne la trouve pas franchement réussie. Et il semblerait qu'avec la sortie dudit tome en septembre, qu'il faudra donc attendre 2024 pour avoir la fin. |
J'attendrai donc un an avant de me lancer dans la série.
Ce qui me condamne un nouvelle fois à ne pas être bulletalon lors des prochaines élections ! |
| Herbv, 10.04.2023 à 21:34 | 377472 |
| | | oui, il y a aussi quelques fans de la série là bas :) |
| NDZ, 10.04.2023 à 11:05 | 377470 |
| | | J'ai vu que tu fais le lien avec Jules-de-chez-Smith-en-face, merci, j'ai toujours la flemme ! ;) |
| Herbv, 09.04.2023 à 21:05 | 377466 |
| | | Je ne la trouve pas franchement réussie. Et il semblerait qu'avec la sortie dudit tome en septembre, qu'il faudra donc attendre 2024 pour avoir la fin. |
| NDZ, 09.04.2023 à 14:03 | 377465 |
| | | Version définitive de la couverture de Saint-Elme 4 visible sur le tumblr (voir adresse deux messages en-dessous). Rien à voir avec les propositions précédentes :)
Il y a un tag #septembre ; ça va être long... |
| Herbv, 24.03.2023 à 8:34 | 377433 |
| | | Merci, je suis allé voir. Je suis censé suivre le tumblr de l'auteur mais je ne me connecte quasiment jamais.
En tout cas, tout ceci est de bonne augure :) |
| Le PBE, 20.01.2023 à 10:41 | 377296 |
| | | Le PBE : | Le Bulle d'Or 2022 est attribué à Saint-Elme de Peeters et Lehman
Rang : 1 (25 points) | | Tome 2 (Saint-Elme #2) Tome 3 (Saint-Elme #3) |
On se demande ce que serait la carrière de Frederik Peeters sans Bulledair.
Déjà multiprimé, Peeters avait obtenu un doublé Grand Prix et Bulle d'Or pour Oleg l'année dernière. Il revient sur la plus haute marche avec Saint-Elme qui obtient 11 voix (8 pour le tome 2, 3 pour le tome 3) dont un seul coup de cœur.
Trophée partagé avec Serge Lehman. Le scénariste était cité en 2021 pour le tome 1 de Saint-Elme (5e place) et était Bulle d'Argent en 2018 avec l'Homme Gribouillé dessiné par devinez-qui.
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| crepp, 01.11.2022 à 11:55 | 376692 |
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Pour cette série, c'est la touche fantastique qui me plait beaucoup, alors avec ce troisième opus beaucoup plus proche du polar noir classique, je suis plus mesuré.
Il n'empêche c'est beau, et prenant. |
| NDZ, 03.02.2022 à 15:51 | 376139 |
| | | Ça sera 5 tomes en tout. |
| Herbv, 03.02.2022 à 8:24 | 376138 |
| | | Je suis bien d'accord avec toi, crepp. Je me suis enfin mis à la série, et je dois dire que l'ambiance mise en place par les auteurs est sacrément réussie. Si les impatients pourraient trouver que l'histoire n'avance pas beaucoup en deux tomes, je trouve au contraire qu'il le fallait, pour l'ambiance, justement. Et j'ai adoré ce tome 2 qui m'a surpris avec le personnage du Derviche. Enfin, les choses sérieuses commencent à la dernière page et vivement le tome 3 (il semblerait que ça doive être en 4 tomes).
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| crepp, 02.02.2022 à 18:13 | 376137 |
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"La ville de Saint-Elme reste étrange, et ce n'est pas Frank Sangaré qui dira le contraire. Il est toujours payé pour retrouver le fils de sa cliente. Le hic c'est qu'il bosse pour la famille Sax, la famille Sax possédant la quasi totalité de la ville. On ne peut pas dire que cette famille soit unie, entre le père, la mère, les deux enfants, et maintenant le grand père, ça se tire la bourre dans tous les sens, mais la Famille reste dangereuse, le privé va vite le comprendre. "
De retour dans cet univers polar avec cette dose d'étrange qui donne tout le charme. L'intrigue avance doucement mais ça ne me pose pas de problème tant je suis happé par l'ambiance. L'ambiance presque psychédélique que donne la mise en couleurs, l'ambiance des ces personnages plus intrigants les uns que les autres (mention spéciale tout de même au "Derviche"), l'ambiance de cette ville réaliste et étrange. Bref les auteurs continuent à m'intriguer, j'en redemande. |
| crepp, 20.11.2021 à 19:55 | 375655 |
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Dans un polar mélangeant le noir et l'étrange. Les deux auteurs nous pondent un début très prenant sans pour autant trop avancer dans l'intrigue. Ca reste assez captivant.
4 balles |
| crepp, 08.03.2021 à 17:52 | 375053 |
| | | NDZ : | Au cours de la lecture, je me suis souvent posé la question de l'intérêt du choix de l'autofiction. Les scènes sont plutôt banales voire stéréotypées (crise de la quarantaine, artiste et page blanche, intellectuel plus de son temps, vie plan-plan de bobo-écolo vegan, etc) et perdent de leur intérêt à ne pas être présentées comme une autobio sincère. Sans pousser le vice à nous forcer à démêler le vrai du faux (on s'en fout), le juste de l'exagéré, je trouve que Peeters ne trouve jamais le bon ton et nous perd. J'ai écouté son intervention sur France Cul où il présente l'un de ses objectifs comme étant l'exposition de l'invasion de la Fiction dans notre Réel. Bah je n'ai pas trouvé cela très convaincant. En même temps, c'est fluide, on tourne les pages avec plaisir et il y a le dessin qui sublime le tout.
Un bon album raté ou un mauvais album réussi.
Quatre banquises qui s'effondrent. |
Il y a un coté classique dans les sujets qui fait qu'il n'y a pas de surprises dans cet album. Mais bordel, c'est si bien raconté, le rythme, les dialogues, le trait... tout est plaisant.
J'ai relu "pilules bleues" juste avant, et je préfère l'utilisation du "je" que du "Il", mais c'est si fluide comme lecture.
bref 4 singes |
| NDZ, 22.01.2021 à 15:16 | 374701 |
| | | Pas besoin, Frederik Peeters a toujours eu une grosse cote sur Bubulle... en plus, je vote Gipi :)
Pour le décalage note-ressenti, je l'ai précisé, j'ai eu du plaisir à la lecture mais j'ai eu l'impression de me faire balader, d'une rupture du pacte autobiographique... |
| Le PBE, 22.01.2021 à 14:36 | 374700 |
| | | Ouais, tu serais pas en train d'essayer de faire monter en douce la cote de Peeters au Grand Prix par hasard ? ;O) |
| | | | Mais en fait, tu attribues une belle bullenote. Le ressenti que tu exposes ne semble pas tant être en adéquation avec celle-ci. Serait-ce une lecture qui t'a plu à ton insu (posément tu penses qu'elle n'aurait pas dû te plaire, et pourtant elle a fonctionné) ?
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| NDZ, 22.01.2021 à 11:39 | 374696 |
| | | Au cours de la lecture, je me suis souvent posé la question de l'intérêt du choix de l'autofiction. Les scènes sont plutôt banales voire stéréotypées (crise de la quarantaine, artiste et page blanche, intellectuel plus de son temps, vie plan-plan de bobo-écolo vegan, etc) et perdent de leur intérêt à ne pas être présentées comme une autobio sincère. Sans pousser le vice à nous forcer à démêler le vrai du faux (on s'en fout), le juste de l'exagéré, je trouve que Peeters ne trouve jamais le bon ton et nous perd. J'ai écouté son intervention sur France Cul où il présente l'un de ses objectifs comme étant l'exposition de l'invasion de la Fiction dans notre Réel. Bah je n'ai pas trouvé cela très convaincant. En même temps, c'est fluide, on tourne les pages avec plaisir et il y a le dessin qui sublime le tout.
Un bon album raté ou un mauvais album réussi.
Quatre banquises qui s'effondrent. |
| beuzno, 26.03.2019 à 20:31 | 371697 |
| | | superbe BD
ça pète! c'est dense, c'est riche
à lire et à relire
frédérick peeters grand prix 2019 |
| crepp, 26.03.2019 à 10:36 | 371679 |
| | | Saccage de Frederik Peeters chez Atrabile.
Je sors de cette lecture comme après ma lecture de "Toxic/la ruche/calavera" de Charles Burns. D'un coté impressionné par le coté graphique de l'album (pour Burns c'était tout de même plus dans sa narration), sidéré par le trait, bloquant sur certaines pages. De l'autre coté, il me reste un coté assez froid qui me gène, mais je sais que c'est par le manque de mes propres références.
Maintenant je ne peux qu'applaudir la sortie d'un album comme celui là, avec l'age j'en ai marre que l'on me montre du doigt où je dois regarder, j'en ai marre que l'on me tienne la main pour m'expliquer. Ici F. Peeters plante son ambiance, met ses envies, aux lecteurs d'y entrer ou pas, mais rien que pour ça, ça vaut le détour.
pas de bullenote, c'est impossible de mon coté à noter. |
| Mael, 31.01.2019 à 19:11 | 371492 |
| | | J'aime bien plusieurs BDs de Peeters, je n'ai pas compris aâmz qui est un de ces cas rares de BDs que j'ai du arrêter en cours de route tant l'extrême laideur et rigidité me hérissait (ça avait du m'arriver avec Vance et Renaud avant).
C'est d'autant plus surprenant qu'a priori j'aime bien ce que fait Peeters, sans passion mais avec plaisir. Alors là j'étais tombé du fauteuil un peu. |
| crepp, 31.01.2019 à 16:08 | 371488 |
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Très difficile d'en parler de cette lecture.
Intéressante sur l'histoire et certains des protagonistes (mais pas le personnage principal). J'ai beaucoup apprécié la bonne utilisation des flash-back pour raconter le récit. C'est de la très bonne SF, mais le "Hic" vient du dessin. C'est une idée ou c'est le trait le plus figé vu chez Frederik Peeters ? (Par moment j'ai même pensé à Léo).
3 cigares |
| Glotz, 07.01.2019 à 14:55 | 371167 |
| | | Pour une fois j'ai apprécié le dessin de Peeters, qui déploie de belles ambiances montagneuses et urbaines pluvieuses. Je n'ai pas vraiment réussi à rentrer dans l'histoire, assez invraisemblable, non exempte de clichés, et dont la cohérence interne n'est pas optimale — je n'ai toujours pas compris d'où sortait cet homme-corbeau (le golem non plus d'ailleurs). Je ne suis pas forcément rétif aux histoires fantastique en contexte contemporain réaliste mais là ça n'a pas fonctionné. |
| chrisB, 04.04.2018 à 9:52 | 368674 |
| | | 100% en phase avec vous messieurs :) |
| NDZ, 26.03.2018 à 11:56 | 368631 |
| | | Thierry : | ce que dit NDZ n'est pas faux, mais il manque quand même quelque chose à cet homme gribouillé pour être un grand livre. Une alchimie qui ferait vraiment décoller cette histoire. J'ai passé un bon moment, mais j'ai aussi eu une impression d'incomplétude. |
Si je n'ai pas mis de coup de coeur, c'est bien que ça n'est pas parfait... loin de là. Mais il y a une fraîcheur ET une tension mêlées, il y a des idées nouvelles tant scénaristiques que graphiques qui ne peuvent pas être boudées. Plaisir de lecture, sans chef-d'oeuvre. |
| crepp, 26.03.2018 à 11:14 | 368630 |
| | |
Je ne vais pas bouder mon plaisir de lecture, c'est un petit bonbon que je viens d'avaler, doux et piquant à la fois. J'ai lu quelques critiques sur la fin abrupte que je ne comprends pas, il n'y a pas besoin de plus, tout n'a pas besoin d'être dit.
4 plumes |
| | | | ce que dit NDZ n'est pas faux, mais il manque quand même quelque chose à cet homme gribouillé pour être un grand livre. Une alchimie qui ferait vraiment décoller cette histoire. J'ai passé un bon moment, mais j'ai aussi eu une impression d'incomplétude. |
| NDZ, 05.02.2018 à 15:16 | 368264 |
| | | Un Homme dans le titre qui cache une famille de Femmes. Un homme-corbeau qui cache d'autres créatures fantastiques. Une pluie qui arrose un scénario qui déborde de toutes parts mais qui ne coule pas dans une bouillasse indigeste, malgré l'hétéroclisme des références, le patchwork des sujets. Un blockbuster bodybuildé qui se révèle un page-turner efficace (vous avez lu ma novlangue? je vais pouvoir bientôt entrer au gouvernement...), notamment grâce à un Peeters tout en souplesse (vous avez vu? souplesse <-> grâce), bien loin de la raideur (pas matinale) relevée (à juste titre) par lldm dans âama. |
| NDZ, 18.11.2017 à 17:27 | 367026 |
| | | Ni-orte c'est bien la ville aux gratte-ciels ?? |
| | | | Si tu confonds les deux Sèvres avec les deux Charentes, je crains la faillite de Lehman et Peeters. |
| NDZ, 18.11.2017 à 11:19 | 367022 |
| | | Ainsi, le Wilder Mann pisté par Fréger serait.... le père de Bouzard ! Ah! les mystères des Charentes... Manquerait plus que l'héroïne de Lehman et Peeters ait un problème avec "her left foot". Non, pas le pied qui lui reste, l'autre, celui de le côté qu'elle aurait du mal à laver. |
| | | | Père absent, hospitalisation de la mère qui déclenche une enquête sur les secrets de la famille à la recherche d'un être mystérieux, tout cela ressemble fort à
Espérons que le traitement sera légerement différent. |
| NDZ, 17.11.2017 à 18:12 | 367018 |
| | | Prochain livre de Peeters, avec Lehman au scénario, à lire en prépublication sur le web ICI |
| Glotz, 10.06.2016 à 21:54 | 362465 |
| | | Pour des raisons qui m'échappent, des planches de Pilules bleues sont exposées dans le hall de l'École normale supérieure, à Paris. Aucune info en ligne, et je ne sais pas jusqu'à quand elles y seront, mais elles ne sont pas très protégées ; avis aux amateurs :) |
| crepp, 18.05.2016 à 18:06 | 362287 |
| | |
Il y a d'abord un trio, tous les 3 sont "riches", sont charismatiques , pas un plus faible que l'autre, c'est déjà une belle réussite rien que pour cela.
Ensuite il y a le paysage, des levers et coucher de soleil d'une beauté incroyable, vraiment la mise en couleurs donne le ton
Et surtout il y a une description de tous les désirs, et pas seulement sexuel.
Le seul bémol, et en cela je rejoins Thierry, je me retrouve moins dans ce "trait réaliste" de Peeters, c'est une chose qui m'a frappé sur les premières planches, mais j'avoue aussi que j'ai totalement oublié tant la lecture fut plaisante.
4 Mustangs |
| | | | crepp : | Je voulais à la base prendre la version bichromie, mais en écoutant une interview de Phang Loo Hui sur les raisons des couleurs, j'ai changé d'avis. |
Thierry : | quelle est son explication ? |
crepp : | d'un coté Loo Hui Phang pour la nouveauté faites avec Frederik Petters (l'odeur des garçons affamés), et puis de l'autre Matthieu Bonhomme pour le Lucky Luke.
ici |
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| | | | crepp : | Herbv : | Je déteste les couleurs de L'odeur des garçons affamés, c'est d'ailleurs pourquoi j'achète demain la version en bichromie que j'ai fait mettre de côté par mon "crémier" habituel de la rue Dante.
J'en connais une qui va être contente d'avoir en cadeau la version couleur :D |
Je voulais à la base prendre la version bichromie, mais en écoutant une interview de Phang Loo Hui sur les raisons des couleurs, j'ai changé d'avis. |
quelle est son explication ?
Personnellement, je n'aime pas trop l'évolution du style de Peeters depuis Aâma. Son dessin a perdu en vitalité en se rapprochant d'un style plus réaliste. Mais il reste une ambiance et un ton qui me pliase chez lui. Mais je préfère de loin son travail sur Lupus. |
| | | | crepp : | Herbv : | Je déteste les couleurs de L'odeur des garçons affamés, c'est d'ailleurs pourquoi j'achète demain la version en bichromie que j'ai fait mettre de côté par mon "crémier" habituel de la rue Dante.
J'en connais une qui va être contente d'avoir en cadeau la version couleur :D |
Je voulais à la base prendre la version bichromie, mais en écoutant une interview de Phang Loo Hui sur les raisons des couleurs, j'ai changé d'avis. |
quelle est son explication ?
Personnellement, je n'aime pas trop l'évolution du style de Peeters depuis Aâma. Son dessin a perdu en vitalité en se rapprochant d'un style plus réaliste. Mais il reste une ambiance et un ton qui me pliase chez lui. Mais je préfère de loin son travail sur Lupus. |
| | | | crepp : | Herbv : | Je déteste les couleurs de L'odeur des garçons affamés, c'est d'ailleurs pourquoi j'achète demain la version en bichromie que j'ai fait mettre de côté par mon "crémier" habituel de la rue Dante.
J'en connais une qui va être contente d'avoir en cadeau la version couleur :D |
Je voulais à la base prendre la version bichromie, mais en écoutant une interview de Phang Loo Hui sur les raisons des couleurs, j'ai changé d'avis. |
quelle est son explication ?
Personnellement, je n'aime pas trop l'évolution du style de Peeters depuis Aâma. Son dessin a perdu en vitalité en se rapprochant d'un style plus réaliste. Mais il reste une ambiance et un ton qui me pliase chez lui. Mais je préfère de loin son travail sur Lupus. |
| | | | crepp : | Herbv : | Je déteste les couleurs de L'odeur des garçons affamés, c'est d'ailleurs pourquoi j'achète demain la version en bichromie que j'ai fait mettre de côté par mon "crémier" habituel de la rue Dante.
J'en connais une qui va être contente d'avoir en cadeau la version couleur :D |
Je voulais à la base prendre la version bichromie, mais en écoutant une interview de Phang Loo Hui sur les raisons des couleurs, j'ai changé d'avis. |
quelle est son explication ?
Personnellement, je n'aime pas trop l'évolution du style de Peeters depuis Aâma. Son dessin a perdu en vitalité en se rapprochant d'un style plus réaliste. Mais il reste une ambiance et un ton qui me pliase chez lui. Mais je préfère de loin son travail sur Lupus. |
| crepp, 22.04.2016 à 23:37 | 362132 |
| | | Herbv : | Je déteste les couleurs de L'odeur des garçons affamés, c'est d'ailleurs pourquoi j'achète demain la version en bichromie que j'ai fait mettre de côté par mon "crémier" habituel de la rue Dante.
J'en connais une qui va être contente d'avoir en cadeau la version couleur :D |
Je voulais à la base prendre la version bichromie, mais en écoutant une interview de Phang Loo Hui sur les raisons des couleurs, j'ai changé d'avis. |
| Herbv, 22.04.2016 à 21:32 | 362131 |
| | | Je déteste les couleurs de L'odeur des garçons affamés, c'est d'ailleurs pourquoi j'achète demain la version en bichromie que j'ai fait mettre de côté par mon "crémier" habituel de la rue Dante.
J'en connais une qui va être contente d'avoir en cadeau la version couleur :D |
| | | | Moi non plus, je n'aime pas trop le dessin sur cette page, c'est un peu du aux couleurs, mais surtout parce que j'ai l'impression d'un dessin fait de juxtapositions et de superpositions de plaques ou lames de minéraux, comme un agencement d'éclats de silex; ainsi,je ne vois pas de différence de texture entre les visages et les rochers. Je ne le trouve pas vivant, pas organique en tout cas, c'est minéral.
Il peut avoir une certaine beauté, mais me met un peu mal à l'aise. |
| Pierre, 22.04.2016 à 15:47 | 362128 |
| | | Quand Peeters se prend pour Gir, ça ressemble à du François Boucq. Le dessin est hideux, non ? |
| | | | Une collaboration entre Frederik Peeters et Loo-Hui Phang a de quoi séduire sur le papier.
Qui plus est, ils se lancent dans un western. En tout cas, un livre qui a toutes les caractéristiques d'un western.
Intrigant.
La couverture joue sur l'opposition entre un dessin qui m'évoque immanquablement Blueberry, alors que le titre semble à des années-lumières du western.
Une expédition s'enfonce dans les terres comanches, aux confins du Texas. Sous le commandement de Stingley, personnage antipathique et qui ne voit que les profits qu'il pourrait tirer de la "civilisation" de ces paysages vierges, Oscar, photographe anglais contraint à la fuite après une série de scandale et Milton, jeune garçon de ferme. Ils se croient seuls. Pourtant, un chasseur de prime cadavérique est à leurs trousses. Et un étrange Indien semble également les surveiller.
Point de départ classique, mais qui porte en lui les germes de l'étrangeté que revêtera la suite de l'histoire.
"L'odeur des garçons affamés" est une fable.
Chaque personnage représente une fonction qui dépasse son simple rôle.
Stingley personnifie le progrès dans ce qu'il peut avoir de plus violent, de plus "artificiel", alors que Milton est un personnage beaucoup plmus connecté à son environnement. Ce en quoi il est plus proche des Indiens, qui font partie du paysage, de cette zone inviolée que Stingley convoite.
Le chasseur de prime n'est que déchéance, symbôle d'une société gangrénée.
Quant à Oscar, il se situe à la frontière. Mais il est fondamentalement attiré par un désir instinctif. L'odeur des garçons affamés.
Toute l'histoire semble tourner autour de cette attirance naturelle, vers l'idée de désir contrariée par une vision matérialiste à l'extrême du monde. Dès les premières pages, la discussion netre Stingley et Oscar préfigure ce qui oppose les 2 personnages.
Stingley veut savoir ce qu'est la photographie, où Oscar a appris son métier. Oscar se contente de lui répondre qu'il s'agit essentiellement de laisser travailler la lumière. Matérialisme contre une certaine forme de naturalisme. Au sens de s'abandonner à la nature. De l'embrasser pour ce qu'elle est. De ne pas vouloir la dompter à tout pris. Stingley ne pense qu'en terme de ressources et de contrôle.
Le désir devient donc central dans cette histoire. Le désir contrarié, réprimé par cette marche en avant matérialiste, ou le désir assumé et vécu. |
| crepp, 02.04.2016 à 13:57 | 361922 |
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Toujours dans l'émission mauvais genre, d'un coté Loo Hui Phang pour la nouveauté faites avec Frederik Petters (l'odeur des garçons affamés), et puis de l'autre Matthieu Bonhomme pour le Lucky Luke.
ici |
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Quelle claque ! La lecture des tomes 3 et 4 d'aâma a confirmé tout le bien que je pensais des deux premiers volumes. Un trip psychédélique de haute volée, totalement fascinant, surtout dans ces deux derniers tomes. Bon, j'ai pas vraiment tout compris (surtout que j'avais lu les deux premiers il y a deux ans !), mais c'est pas grave, j'ai marché à fond ! J'ai été subjugué par la dynamique impulsée par le graphisme, le découpage, la construction des cases et planches, subjugué aussi par la mise en couleurs d'une beauté hallucinante. Quelle œuvre puissante et magnifique ! Faudra que je relise le tout d'une traite, une prochaine fois.
(P.S. "polémique" : malgré tout ce qui a pu être dit et écrit ici-même (par Frederik Peeters lui-même, par d'autres, par moi), je reste sur mes positions. Là où je ne vois toujours dans l'excellent Lupus qu'un très bon road-movie mâtiné de science-fiction prétexte, je trouve l'emploi de l'univers science-fictionnel totalement justifié et parfaitement utilisé dans aâma, ce qui, pour moi, en fait un chef-d'œuvre absolu du genre. Et je dis merci monsieur Peeters !)
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| NDZ, 30.10.2014 à 20:23 | 356555 |
| | | Thierry : | dernier tome de cette série à laquelle il aura toujours manqué un petit quelque chose selon moi. Attention, Aama est une belle série, qui ne manque pas d'attraits et dans laquelle Frederik Peeters se montre tout-à-fait à la hauteur de sa réputaion. Il s'impose même comme un créateur d'univers assez incroyable lorsqu'il détaille la faune et la flore complètement folle créée par Aama. Sa construction narrative est très maîtrisée et la basculement progressif entamé dans le tome 3 est très réussi. Sa conclusion évite les pièges du trop ou trop peu d'explication. Il en dit juste assez pour laisser au lecteur le soin de 'remplir les trous'. Mais jusqu'au bout, j'ai eu du mal à vibrer vraiment. Sans doute parc e que je n'ai jamais ressenti pour Velroc l'empathie que j'ai ressenti pour Lupus. A vrai dire, je me foutais parfois un peu de ce qui lui arrivait.
En tout cas, 2014 aura vu la conclusion de 3 grandes séries: Blast, Aama et X'rox'd/Hive/Sugar Skull |
ça y est j'ai lu le 4 et je pense pareil :) |
| lyaze, 30.10.2014 à 14:51 | 356547 |
| | | Thierry : | dernier tome de cette série à laquelle il aura toujours manqué un petit quelque chose selon moi. Attention, Aama est une belle série, qui ne manque pas d'attraits et dans laquelle Frederik Peeters se montre tout-à-fait à la hauteur de sa réputaion. Il s'impose même comme un créateur d'univers assez incroyable lorsqu'il détaille la faune et la flore complètement folle créée par Aama. Sa construction narrative est très maîtrisée et la basculement progressif entamé dans le tome 3 est très réussi. Sa conclusion évite les pièges du trop ou trop peu d'explication. Il en dit juste assez pour laisser au lecteur le soin de 'remplir les trous'. Mais jusqu'au bout, j'ai eu du mal à vibrer vraiment. Sans doute parc e que je n'ai jamais ressenti pour Velroc l'empathie que j'ai ressenti pour Lupus. A vrai dire, je me foutais parfois un peu de ce qui lui arrivait.
En tout cas, 2014 aura vu la conclusion de 3 grandes séries: Blast, Aama et X'rox'd/Hive/Sugar Skull |
Lu hier soir, et je suis tout a fait d'accord avec toi !
(ça fait plaisir de faire un petit tour par ici, coucou à tous !) |
| | | | Anoeta : | Thierry : |
En tout cas, 2014 aura vu la conclusion de 3 grandes séries: Blast, Aama et X'rox'd/Hive/Sugar Skull |
Et Donjon ! |
Oui ! |
| Anoeta, 29.10.2014 à 15:51 | 356525 |
| | | Thierry : |
En tout cas, 2014 aura vu la conclusion de 3 grandes séries: Blast, Aama et X'rox'd/Hive/Sugar Skull |
Et Donjon ! |
| | | | Narrativement, j'avais vraiment été emballé par les tomes 1 et 2, mon intérêt était largement retombé au tome 3, ce tome 4 se révèle dans la continuité descendante pour ma part.
Des très belles planches, mais un peu vaines.
J'ai trouvé beaucoup de similitude avec Koma dans ce dernier tome (le père super-héros, la case finale, les retrouvailles des parents...), mais la relation père-enfant m'a semblé moins pertinente dans aama, là où la relation fraternelle avait beaucoup de sens à mes yeux : c'est certainement ce qui m'a manqué dans ces deux derniers tomes, le fait que le déplacement des enjeux se fasse sur un personnage absent amoindrit la puissance émotionnelle du propos.
Dommage. |
| NDZ, 20.10.2014 à 11:14 | 356463 |
| | | Thierry : | dernier tome de cette série à laquelle il aura toujours manqué un petit quelque chose selon moi. Attention, Aama est une belle série, qui ne manque pas d'attraits et dans laquelle Frederik Peeters se montre tout-à-fait à la hauteur de sa réputaion. Il s'impose même comme un créateur d'univers assez incroyable lorsqu'il détaille la faune et la flore complètement folle créée par Aama. Sa construction narrative est très maîtrisée et la basculement progressif entamé dans le tome 3 est très réussi. Sa conclusion évite les pièges du trop ou trop peu d'explication. Il en dit juste assez pour laisser au lecteur le soin de 'remplir les trous'. Mais jusqu'au bout, j'ai eu du mal à vibrer vraiment. Sans doute parc e que je n'ai jamais ressenti pour Velroc l'empathie que j'ai ressenti pour Lupus. A vrai dire, je me foutais parfois un peu de ce qui lui arrivait.
En tout cas, 2014 aura vu la conclusion de 3 grandes séries: Blast, Aama et X'rox'd/Hive/Sugar Skull |
Je n'ai pas lu le 4 mais je pense pareil sur tout le reste (Lupus, les belles séries)... ça me fait pas envie de me jeter dessus du coup ;) |
| | | | dernier tome de cette série à laquelle il aura toujours manqué un petit quelque chose selon moi. Attention, Aama est une belle série, qui ne manque pas d'attraits et dans laquelle Frederik Peeters se montre tout-à-fait à la hauteur de sa réputaion. Il s'impose même comme un créateur d'univers assez incroyable lorsqu'il détaille la faune et la flore complètement folle créée par Aama. Sa construction narrative est très maîtrisée et la basculement progressif entamé dans le tome 3 est très réussi. Sa conclusion évite les pièges du trop ou trop peu d'explication. Il en dit juste assez pour laisser au lecteur le soin de 'remplir les trous'. Mais jusqu'au bout, j'ai eu du mal à vibrer vraiment. Sans doute parc e que je n'ai jamais ressenti pour Velroc l'empathie que j'ai ressenti pour Lupus. A vrai dire, je me foutais parfois un peu de ce qui lui arrivait.
En tout cas, 2014 aura vu la conclusion de 3 grandes séries: Blast, Aama et X'rox'd/Hive/Sugar Skull |
| | | | curiosité que cette collaboration entre Ibn Al Radin et Frederik Peeters, longtemps introuvable. Un commando de nationaliste liechtensteinois détourne un train et est poursuivi par des mercenaires sanmarinais. C'est assez délirant, parfois drôle mais pas toujours abouti. Une curiosité, donc. Intéressante mais pas indispensable. |
| Moi, 12.11.2013 à 22:13 | 352849 |
| | | Sur son blog, Frederik Peeters signale qu'il recherche 8 planches originales de "Les Miettes"... Des planches qu'il avait vendues et qu'il veut retrouver en vue d'une réédition de l'album par les éditions Atrabile. A bon entendeur... |
| SydN, 08.11.2013 à 11:34 | 352818 |
| | | Charlie Brown : |
Toujours aussi bien. J'ai hâte de m'attaquer au troisième tome. |
moi j'ai hâte de m'attaquer au premier tome ! (humhum) |
| | | | Bonjour,
je fais juste passer ce message concernant "Les Miettes":
http://atrabile.org/category/news
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Toujours aussi bien. J'ai hâte de m'attaquer au troisième tome. |
| NDZ, 18.10.2013 à 15:20 | 352656 |
| | | Toujours très fin, derrière le décor carton-pâte et malgré certains passages plutôt "bourrin". On a de la SF moins intimiste que dans Lupus, plus cérébrale: c'est l'effet de l'écriture + construction vs improvisation ? En tout cas, on voyage, on est secoué et on cogite sans gigoter, et ça c'est la grande classe. Peeters s'affirme comme un des plus grands dessinateurs actuels pour tout ce qui touche le vivant de l"intérieur". Fouiller les entrailles pour trouver du sentiment, pourquoi pas ?
L'autre grande classe, c'est de surfer mine de rien sur la vague des bédés gastronomiques/culinaires ;) avec Mr Long en guest-star : que demande-t'on ? |
| | | | Je suis un peu de l'avis de Charlie Brown : un Chateau de sable assez raté (ça m'a gonflé cette obsession du sexe toutes les deux pages) et un aama pour le moment très réussi.
La galerie de personnages est très bien amenée, l'univers décrit est assez fascinant, la narration à rebours, même si elle génère parfois une loghorée peu digeste, est très addictive et, du coup, JE VEUX LA SUITE ! |
| | | | Thierry : |
Charlie Brown : | Peeters revient (sans Pierre Oscar Lévy, fort heureusement) à la SF de qualité. J'avais adoré Lupus, même si je fais partie du clan de ceux qui considèrent que l'univers SF n'était qu'un prétexte, un décor, un accessoire quasi inutile au déroulement de ce "road movie" existentiel |
Frédérik Peeters ne fait pas partie de ce clan-là. Il n'a pas dû comprendre ce qu'il faisait pendant tout ce temps (sur bdgest, j'aurai mis unn smiley qui rigole très très fort). Dire quil s'est gratuitement emmerdé à donner un cadre SF pour du beurre alors qu'il aurait pû utiliser un van VW pourri, les berges du lac d'Annecy et le plateau des glières à la place... :o)
Lupus est un récit de SF intimiste. Ce n'est pas incompatible. SF n'est pas un gros mot :o) |
Oui oui, je sais bien que Peeters ne fait pas partie de ce clan-là, et c'est encore heureux puisqu'il est l'auteur... Il était d'ailleurs intervenu ici-même pour en causer. M'enfin j'ai le droit de ressentir la chose différemment, peu importent les intentions de l'auteur... Oui, je fais aussi partie de ceux qui n'en ont rien à foutre des intentions de l'auteur et qui n'accordent d'importance qu'au ressenti du lecteur (surtout quand le lecteur, c'est soi-même... :o))
Thierry : | Charlie Brown : | Après le désastre de Château de sable |
Aaaargh, mais ce n'est pas un désastre du tout, que vas-tu raconter là ? J'y ai retrouvé une ambiance incroyable et un vrai part-pris de considérer cette histoire comme une expérience, un peu comme l'observation de la dégénéresence de specimens dans une boîte de pétri. Ce n'est sans doute pas son album le plus abouti, mais j'aime beaucoup.
Aama est nettement moins abouti, de mon point de vue. |
Aama n'est pas encore terminé il me semble...
Quant à Château de Sable, c'est sûrement une expérience, mais comme y'a rien qui fonctionne, je trouve ça complètement vain.
Tiens, comme à l'époque (août 2012) j'avais été très déçu par ce bouquin, je n'en avais causé vite fait que dans le "verdict panoramique de nos dernières lectures"... Je te colle mon commentaire ignoble et inutile ici :
Charlie Brown : |
Je viens de voir que Pierre Oscar Lévy est réalisateur de films documentaires. Je n'en ai vu aucun mais il est très possible qu'ils soit bon dans sa partie. Il devrait peut-être y rester, dans sa partie, parce qu'en tant que scénariste de BD, il serait peut-être bon qu'il en reste là...
Et Frederik Peeters devrait peut-être continuer à faire ses BD tout seul, parce que malgré son talent, il n'arrive pas à sauver la chose du désastre. Laborieux et sans intérêt, je me suis forcé à aller jusqu'à la fin de l'ouvrage au cas où la chute me mettrait une claque finale salutaire et salvatrice. Il n'en fut rien. Une belle déception, dites-donc.
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| | | | Charlie Brown : | Après le désastre de Château de sable |
Aaaargh, mais ce n'est pas un désastre du tout, que vas-tu raconter là ? J'y ai retrouvé une ambiance incroyable et un vrai part-pris de considérer cette histoire comme une expérience, un peu comme l'observation de la dégénéresence de specimens dans une boîte de pétri. Ce n'est sans doute pas son album le plus abouti, mais j'aime beaucoup.
Aama est nettement moins abouti, de mon point de vue.
Charlie Brown : | Peeters revient (sans Pierre Oscar Lévy, fort heureusement) à la SF de qualité. J'avais adoré Lupus, même si je fais partie du clan de ceux qui considèrent que l'univers SF n'était qu'un prétexte, un décor, un accessoire quasi inutile au déroulement de ce "road movie" existentiel |
Frédérik Peeters ne fait pas partie de ce clan-là. Il n'a pas dû comprendre ce qu'il faisait pendant tout ce temps (sur bdgest, j'aurai mis unn smiley qui rigole très très fort). Dire quil s'est gratuitement emmerdé à donner un cadre SF pour du beurre alors qu'il aurait pû utiliser un van VW pourri, les berges du lac d'Annecy et le plateau des glières à la place... :o)
Lupus est un récit de SF intimiste. Ce n'est pas incompatible. SF n'est pas un gros mot :o) |
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Après le désastre de Château de sable, Peeters revient (sans Pierre Oscar Lévy, fort heureusement) à la SF de qualité. J'avais adoré Lupus, même si je fais partie du clan de ceux qui considèrent que l'univers SF n'était qu'un prétexte, un décor, un accessoire quasi inutile au déroulement de ce "road movie" existentiel... (oui, je sais, on va pas recommencer la discussion...). Ici, en revanche et pour l'instant, l'univers science-fictionnel me paraît complètement justifié. Bref, ça part super bien. Je marche à fond. |
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